Soon des Étangs et Silverlea Martine, les deux souches phares de l’élevage de l’Aumont de Marc Bernardin

Publi-rédactionnel
Marc Bernardin, 71 printemps, a fait naître des poneys New Forest et Poneys français de selle (PFS) pendant près de vingt-cinq ans, sous l’affixe « de l’Aumont ». L’attrait pour les poneys New Forest, à la base, va le conduire à acquérir Soon des Étangs, qui lui donnera sa première pouliche en 1988, puis la britannique Silverlea Martine, achetée foal dans le célèbre élevage de la famille Stainer. Deux poulinières à l’affixe reconnu : le premier a contribué il y a quelques décennies à la belle moisson de médailles du stud-book français du poney New Forest, et le second, basé en Angleterre, a été l’un des meilleurs élevages d’Europe de la race dans la production de poneys de sport.
Revenons en préambule sur vos débuts. D’où vous est venue cette passion pour les poneys New Forest et l’envie d’en élever ?
C’est mon ami Jean-Marc Lefèvre qui m’a transmis ce virus (ce dernier a fondé le Syndicat Linaro et, avant cela, l’élevage de Montmain, dont les reproducteurs New Forest ont fréquemment été utilisés, et ce, dès ses débuts, ndlr). Il ne plaît pas à tout le monde, mais pour moi c’est un grand connaisseur. J’avais aussi suivi, par le biais d’Yvan de Curraize, les stages de formation de juges qui avaient lieu à l’époque au Centre d’enseignement zootechnique (CEZ) de Rambouillet. Nous étions nombreux à passer les examens, mais pas si nombreux que ça à les réussir. Ces examens étaient durs : dans ma promotion, nous devions être une cinquantaine et je crois qu’une dizaine seulement les a validés. Je n’avais pas un si mauvais coup d’œil (rire). J’ai beaucoup apprécié ces stages, car nous jugions aussi bien des poneys que des Selle Français ou des Cobs pour déceler les défauts et les qualités. Je crois qu’il y avait à cette époque Franck Saumont, le mari de Marie-Dominique Saumont-Lacoeuille (l’ancienne présidente de l’ANPFS avait, avant de faire naître ses Poneys français de selle « du Lin », utilisé l’affixe « du Moulin » et a également élevé des New Forest, ndlr) et Olivier Despierres (éleveur des poneys « de l’Ocq » et président de l’Association française du poney New Forest de 1994 à 2007, ndlr). J’ai d’ailleurs fait partie du bureau de l’AFPNF du temps de la présidence d’Olivier Despierres et j’ai aussi rejoint celui de l’ANPFS. Cela faisait de la route lorsqu’il fallait se déplacer pour les réunions à Lamotte-Beuvron ! Il fallait être passionné et aimer ça. Bref, après les stages de juges, avec Jean-Marc Lefèvre nous sommes partis en Angleterre en 1989 visiter l’élevage Silverlea, où j’ai trouvé Martine, ma deuxième poulinière.

Pouvez-vous revenir sur cette visite dans le célèbre élevage britannique ?
Je m’en souviens bien : quand nous sommes arrivés, il y avait peut-être trente à quarante poulinières avec leurs poulains dans les champs ; on avait le choix ! J’ai flashé sur ma petite Silverlea Martine, qui devait avoir une quinzaine de jours. J’ai dit à Jean-Marc : « C’est celle-là que je veux acheter ! ». Elle se déplaçait très bien et m’a tout de suite beaucoup plu. Après avoir regardé le plus gros du cheptel, il m’a dit que si je ne l’achetais pas il la prenait ; lui aussi l’avait trouvé très belle. Ça m’a fait tilt et je l’ai achetée au printemps 1989. Nous sommes allés la chercher en décembre sous une tempête incroyable ! Nous sommes même partis une journée plus tard, car on ne pouvait pas prendre le bateau. La petite Martine avait à peu près 6 mois, elle était sevrée. Il y a d’ailleurs une anecdote concernant son nom, Martine. C’est moi qui l’ai nommée ainsi en référence au prénom de l’épouse de Jean-Marc.
L’attrait pour le poney New Forest était-il le fruit du hasard ? Auriez-vous pu élever des poneys d’une autre race pure, par exemple ?
Je crois que j’ai dû apprendre, par Jean-Marc Lefèvre justement, que dans les élevages britanniques de poneys New Forest comme Silverlea les poneys avaient beaucoup de qualité et un peu plus de sang. Silverlea était sans doute le plus gros élevage et le plus qualiteux.

En plus de Silverlea Martine, sur quelles poulinières avez-vous pu compter au sein de votre élevage ?
Soon des Étangs (par Jolly des Ifs) a été ma première jument. Je l’ai achetée chez Mme de Bonnafos, quelques années avant Martine. Elle a eu son premier produit à l’âge de 4 ans, en 1988 : Altess de l’Aumont*, par Quartz du Moulin. L’élevage des Étangs était réputé, tout comme l’élevage des Ifs (lire l’encadré). J’ai dû y aller, mais je n’ai pas eu de coup de cœur, tout comme à l’élevage de Montmain de Jean-Marc Lefèvre qui m’avait aussi proposé des poneys. Chez Mme de Bonnafos, j’ai beaucoup aimé cette belle petite ponette qui se déplaçait bien. Elle n’était pas grande cependant, je pense qu’elle ne devait pas faire plus d’1,40 m. Soon a marqué l’élevage de l’Aumont, tout comme sa fille Eliss de l’Aumont (par Silverlea Spring Fever) et, bien sûr, Silverlea Martine (par Silverlea Flash Harry).
* Altess fut championne des pouliches de 1 an au National New Forest de 1989, devant Allia de l’Aumond, née également chez Marc Bernardin. Allia était par Obelisque et Siloe des Étangs, une poulinière par Jolly des Ifs elle aussi, à l’origine de trois poulains (dont l’étalon Cosmos, champion de France des mâles de 1 an au National de Bourges en 1991) portant l’affixe de notre éleveur (« Aumond » avec un « D » à la fin, pour les deux premiers). En 1990, Altess a été vice-championne des femelles de 2 ans derrière la célèbre britannique Rodlease April Glory, considérée par Annie et Jean-Marcel d’Aprigny comme la meilleure poulinière de l’élevage des Mauvis, ndlr.
Soon des Étangs et l’élevage des Ifs
L’élevage des Ifs a été fondé par Joëlle Boisnard à la fin des années 1950 avec des poneys New Forest importés de Grande-Bretagne et s’est inscrit comme l’un des pionniers en France. Soon des Étangs, achetée par Marc Bernardin, est le fruit de la sélection de Mme Boisnard. C’est une fille de Jolly des Ifs (par Sweethills Sparticus), qui fit sa carrière d’étalon au sein de l’élevage « des Étangs » d’Hélène de Bonnafos, une grande amie de la famille Boisnard. Jolly des Ifs, issu de la bonne Priory Pollydora (par Burton Sunlight), est notamment un frère utérin de l’étalon Nightingle des Ifs (par l’excellent Mudeford Spark) qui s’est révélé être un bon père de mères. La mère de Soon, Cherry IV, à l’origine des étalons propres frères de Soon, Udou des Étangs (champion de France des mâles de 3 ans au National New Forest de Saint-James en 1989) et Toleran des Étangs (champion de France des mâles de 3 ans au National New Forest de 1988), est une fille de Silverlea Lizette, l’une des poulinières de l’élevage des Ifs. Soon des Étangs a, entre autres, été championne des poulinières suitées du National New Forest en 1988 et vice-championne en 1989, 1990, 1992 et 1998 (encore 2e dans la classe des poulinières, cette fois non suitée, en 1991 à Bourges).
Un bon mètre 40, était-ce une taille idéale à vos yeux ?
J’aimais plutôt les grandes juments théoriquement, et pourtant je l’ai achetée. La taille, c’est d’ailleurs un petit peu le reproche que je faisais à la race New Forest, car elle pouvait en manquer. Lorsque je suis parti dans l’élevage de Poneys français de selle, en croisant mes ponettes j’ai pu ramener de la taille et du sang. Je parlais souvent de ce sujet avec Jean Lassoux, qui était à l’époque président de l’ANPFS (et qui a élevé des poneys New Forest et PFS sous l’affixe « de Tyv », ndlr).

Dites-nous tout maintenant sur votre autre poulinière phare, Silverlea Martine…
Martine** est née le 19 avril 1989. Contrairement à Soon, elle avait de la taille et devait toiser 1,46 m ou 1,47 m. Je faisais d’ailleurs attention à ne pas lui confier des étalons trop grands. Martine a gagné plusieurs fois sa classe au National New Forest dans les années 1990. C’était un très beau concours ! Il y avait pas mal de monde et certains éleveurs venaient de loin pour présenter leurs poneys. Dans les épreuves de poulinières, elle a raflé beaucoup de premières places également. C’était une belle baie cerise, qui aurait pu avoir un tout petit peu plus de distinction, si on l’avait comparée aux PFS, mais elle était très bien faite, tant au niveau de son encolure que dans son dos, sa croupe… Elle était armée, avait de l’ossature et se déplaçait vraiment très bien. Elle a eu une bonne production en New Forest et PFS, avec Glen, Helf, Karisto, Lariss, Miss, Opale… J’ai eu pas mal d’étalons avec mes poulinières, dont certains ont été acheté par les Haras Nationaux. J’ai élevé des New Forest pendant plusieurs années avant de passer aux PFS. J’aimais bien les croiser.
** Comme Soon des Étangs, Silverlea Martine a remporté plusieurs fois le National New Forest. Elle fut, entre autres, championne des femelles de 1 an lors du National de Tours en 1990 (année où la deuxième fille de Soon, Belika de l’Aumont, par Lavender Stardust of Wootton, fut troisième de cette classe, avant de remporter le titre des 2 ans et de devancer Martine, classée alors troisième) et championne des femelles de 3 ans au National de Bourges en 1992 où elle fut sacrée vice-championne Suprême, puis troisième des poulinières suitées en 1994.
Hormis Soon et Martine, avez-vous acheté d’autres poulinières à l’extérieur ?
Non, car je me suis servi ensuite des pouliches nées chez moi, comme Eliss de l’Aumont (par Silverlea Spring Fever, étalon propre frère de Martine et des étalons Silverlea Baywatch et Silverlea Charlie’s Angel. Champion des mâles de 2 ans au National de Tours en 1990, Silverlea Spring Fever a par la suite évolué jusqu’en Grand Prix de saut d’obstacles, ndlr). Eliss (championne de France des femelles de 3 ans au National de Tours en 1995, ndlr) m’a, par exemple, donné quatorze poulains.

Combien aviez-vous de poulinières à Saint-Gilles ? Comment fonctionniez-vous en ce qui concerne les débourrages, la valorisation et la vente ?
J’avais très peu de poulinières, trois, voire quatre, au maximum. Je faisais débourrer mes poneys à 3 ans, j’avais souvent deux petites cavalières qui montaient très bien et qui me les sortaient ensuite en Cycle classique. Je me souviens notamment d’Aude Lalleman. Je les vendais généralement à 4, 5 ou 6 ans. Par exemple, Karisto de l’Aumont (par Shining Starr Aristo), qui avait été champion des 4 et des 5 ans avec Philippe Rainteau, a été remarqué sur la finale des 6 ans qu’il avait failli remporter. Thierry Lacour l’avait vu et était venu me trouver. Il m’a fait une offre et je l’ai vendu à son élève Axel Le Diberder. J’ai toujours aimé récompenser mes cavalières en leur allouant un pourcentage sur la vente. La propre sœur de Karisto, Lariss, a été vendue le même prix, une belle somme pour l’époque !
Vous ne les vendiez jamais sous la mère ou à 3 ans ?
J’en ai peut-être vendu quelques-uns très jeunes, mais ce n’est pas ce que je recherchais. J’essayais de les sortir en concours de modèle et allures puis en Cycle classique. C’étaient mes petites sorties ! Il y avait pas mal d’épreuves à côté de chez nous. Je faisais tous les concours d’élevage, à Saint-Lô bien sûr, au Pin, et puis, bien avant, à Saint-Amand, mais ça date ! Et puis nous allions aussi à tous les bons concours organisés dans la région avec les chevaux de selle. C’était mon plaisir de les voir évoluer sous la selle. Les poneys ont eu de bons résultats, mais c’est un peu vieux maintenant. Il n’y avait pas encore la finale des 7 ans à Lamotte.

Combien aviez-vous d’hectares, et quel était le mode de vie de vos poneys ?
J’avais environ 4 hectares et de grandes stabulations pour les poulinières. Dès qu’il faisait mauvais, elles étaient à l’abri. Les poneys étaient à 50 mètres à peine de la maison, on n’avait pas loin pour les soigner. Ils étaient toujours dans de la bonne paille, c’était la vie rêvée pour eux !
Vous nous parliez de votre compétence de juge précédemment, jugez-vous toujours ?
Oui, un petit peu. L’année dernière je suis allé au Lion d’Angers, par exemple. J’y suis allé pendant une quinzaine d’années, je trouve que c’est l’un des plus beaux concours. Ça me fait plaisir de ressortir et de voir les éleveurs. Au Sologn’Pony, je jugeais aussi, j’étais bien occupé !
Quels conseils donneriez-vous aux jeunes éleveurs ?
J’aime bien donner des petits conseils. À Saint-Lô, l’autre jour, j’ai conseillé à un éleveur de toiletter son poney encore un tout petit peu mieux au niveau des oreilles et de la barbiche. J’étais maniaque, moi, à ce niveau-là. Sur une croupe légèrement cassée, vous pouvez natter la queue pour la lui dégager, ce n’est pas plus mal, cela peut donner un demi-point de plus. Pour les 3 ans, par exemple, le cavalier préparateur joue beaucoup, c’est même un métier. Au pas, combien de cavaliers ne savent pas mettre leur poney dans un pas actif ? On veut un pas en avant. Ce sont des petits détails qui font la différence.

Derrière le double champion d’Europe de concours complet en titre, Flash des Étoiles, il y a vos souches phares, votre travail de sélection***. Avez-vous suivi son épopée l’été dernier ?
Oui, j’ai eu des échos et Marie-Dominique Saumont-Lacoeuille m’a appelé. C’est très bien et ça me fait très plaisir, on n’a pas fait que des bêtises (rire). La souche d’Eliss a bien produit.
*** Eliss de l’Aumont est la mère de Quiryda de l’Aumont, elle-même mère de Flash des Étoiles. Le père de Flash, le PFS Avenir de l’Aumont (par le poney de selle allemand Aron N SL), est un fils de Silverlea Martine. Le double champion d’Europe de CCE allie donc les deux souches New Forest de l’élevage de l’Aumont, celle de Soon des Étangs et de Silverlea Martine.
Que retenez-vous principalement de ces années d’élevage ?
Du plaisir. Mon neveu Aurélien (Bernardin, ndlr) et Mathilde (Doutressoulles, ndlr) avaient repris une petite partie de l’élevage (faisant naître leurs poneys sous l’affixe « des Étoiles », ndlr), mais ils se sont séparés (l’élevage des Étoiles, fondé en 2005, est aujourd’hui géré par Mathilde Doutressoulles). Leurs enfants ont l’air de s’intéresser aux poneys, ça me fait plaisir. De mon travail d’éleveur, je n’ai pas de regret et je souhaite à tout le monde d’aussi beaux souvenirs. Je recevais encore des coups de fils, il n’y a pas si longtemps que ça, de gens qui souhaitaient acquérir des poneys « de l’Aumont ». J’en ai vendu en Italie, en Espagne… C’est chouette d’avoir encore des demandes. J’ai fait deux boulots dans ma vie : j’étais coiffeur à la base, métier que j’ai abandonné pour me lancer pendant une trentaine d’années dans l’assurance, pour finalement y revenir. J’ai repris les ciseaux et cela m’a permis de m’occuper davantage de mes poneys et de faire de la sélection. Cela fait environ douze ans que j’ai arrêté d’élever. Nous habitons désormais à Canisy, tout près de Saint-Lô, et à l’époque je me rappelle qu’il y avait un concours de poneys au château de Canisy justement. En passant devant, j’y repense d’ailleurs toujours !
Et si vous ne deviez retenir que les meilleurs souvenirs ?
Pour moi, lorsque vous avez un poney champion des 4, 5 ou 6 ans, c’est une belle satisfaction !
PRODUCTION des poulinières à l’origine de l’élevage de l’Aumont
Soon des Étangs (New Forest née chez d’Hélène de Bonnafos, par Jolly des Ifs et Cherry IV par Deeracres Springtime), 1984 – 2016
Mère de 17 produits nés à l’élevage de l’Aumont :
– Altess de l’Aumont (Nf, par Quartz du Moulin), née en 1988, IPO 119
Mère d’Eden de l’Aumont (Nf, par Silverlea Spring Fever), IPO 123 ; Geisha d’Amigny (Nf, par Flightpath), mère de deux produits indicés à plus de 120 en CCE dont Lord d’Amigny (Nf, par Glen de l’Aumont), IPC 127.
– Belika de l’Aumont (Nf, par Lavender Stardust of Wootton), née en 1989
– Candi de l’Aumont (étalon Pfs, par Syrius de Mai, Pfs), né en 1990
– Eliss de l’Aumont (Nf, par Silverlea Spring Fever), née en 1992, production ci-dessous.
– Ferry de l’Aumont (Nf, par Flightpath), né en 1993, IPO 138
– Glory de l’Aumont (Nf, par Flightpath), née en 1994, mère d’Aristote (Oc, par Hasting du Buhot, Co), IPO 122
– Helium de l’Aumont (étalon Pfs, par Syrius de Mai, Pfs), né en 1995, père de 4 produits indicés à plus de 140
– Idol de l’Aumont (étalon Pfs, par Syrius de Mai, Pfs), né en 1996, IPO 131
– Jenny de l’Aumont (Pfs, par Vazy du Viertot, Pfs), née en 1997, IPO 137
– Kiness de l’Aumont (Nf, par Glen de l’Aumont), née en 1998, mère de Bradfield de Losque (Pfs, par Uriel de Neuville, Co), IPO 144 et Finola de Losque (Pfs, par Avenir de l’Aumont, Pfs), IPO 124
– Leader de l’Aumont (Nf, par Glen de l’Aumont), né en 1999, IPO 147
– Mister de l’Aumont (Nf, par Etoile d’Hardy), né en 2000, Excellent attelage 1re année à 6 ans
– Nobel de l’Aumont (Nf, par Willoway Montmain Gold Charm), né en 2001, IPO 120
– Océane de l’Aumont (Pfs, par Teake It Easy SL, Poet), née en 2002, Très Bon CCJP CSO 5 ans, mère de 4 produits indicés à plus de 120 dont Verdict de l’Aumont (Pfs, par Quabar des Monceaux, Pfs), IPO 131 et Absolue Le Courtal (Pfs, par Aron N SL, Drp), IPO 161
– Paola de l’Aumont (Pfs, par de l’Aumont), née en 2003
– Queyras de l’Aumont (Nf, par Karisto de l’Aumont), né en 2004, IPO 150, As Poney Élite CSO
– Royale de l’Aumont (Nf, par Karisto de l’Aumont), née en 2005, mère de Cali des Étoiles (Nf, par Radja Meraniere Pfs), IPO 124
Silverlea Martine (New Forest née chez J.M. Stainer, par Silverlea Flash Harry et Silverlea Gaye et Silverlea Michaelmas), 1989 – 2014
Mère de 18 produits nés à l’élevage de l’Aumont :
– Fiver de l’Aumont (Nf, par Vault du Galion), né en 1993
– Glen de l’Aumont (étalon Nf, par Willoway Good As Gold), né en 1994, champion de France des mâles d’1 an (National New Forest de Tours en 1995), puis champion des mâles de 2 ans (National New Forest de Tours en 1996 où il a été sacré vice-champion Suprême) et de 3 ans (National New Forest de Tours en 1997), Grand Prix CSO, IPO 153, ISO 135, père de 12 produits indicés à plus de 140
– Helf de l’Aumont (étalon Pfs, par Syrius de Mai, Pfs), né en 1995
– Isba de l’Aumont (Nf, par Cosmos de l’Aumont), née en 1996
– Jalna de l’Aumont (Pfs, par Pompei, Pfs), née en 1997
– Karisto de l’Aumont (étalon Pfs, par Shining Starr Aristo, Poet), né en 1998, champion de France des mâles Pfs de 2 et de 3 ans, champion des 4 et des 5 ans en CCJP de CSO, Grand Prix de CSO, IPO 149, père de 6 produits indicés à plus de 140
– Lariss de l’Aumont (Pfs, par Shining Starr Aristo, Poet), née en 1999, Grand Prix de CSO, IPO 156
– Miss de l’Aumont (Pfs, par Canal Misty Fionn, Co), née en 2000, IPO 154, mère de 3 produits indicés à plus de 120 dont Acapulco (Pfs, par Aron N SL, Drp), IPO 143 et Fiona Queen Sixty One (Pfs, par Emmickhoven’s Diego SL, Nf), IPO 131
– Opale de l’Aumont (Pfs, par Linaro SL, Drp), née en 2002, IPO 128, mère de Dancing Girl (Pfs, par Anydale Ron SL, Nf), IPO 130 et sa propre sœur Elegante Sixty One, IPO 133
– Pastel de l’Aumont (Pfs, par Lancer, Drp), née en 2003, IPO 127
– Quintana de l’Aumont (Nf, par Silverlea Simply Red), née en 2004, IPO 137
– Sylma de l’Aumont (Nf, par Marnehoeve’s Everest), née en 2006, mère de Diablo de l’Aumont, champion Suprême mâle PFS en 2014 et de 3 produits indicés à plus de 120 dont Égérie de Jomat (Pfs, par Udaipur Nordmann, PFS), IPO 129 et Grace Kelly de Jomat (Pfs, par Movie Star Tilia, Pfs), championne des 6 ans de CCE, IPC 135, IPO 120
– Tendance de l’Aumont (Pfs, par Nagaro d’Algarad, Pfs), née en 2007
– Upplala de l’Aumont (Pfs, par Opplala St Hymer, Pfs), née en 2008
– Very Nice de l’Aumont (étalon Pfs, par Mac Geyver SL, Drp), né en 2009
– Avenir de l’Aumont (étalon Pfs, par Aron N SL, Drp), né en 2010, père de Flash des Étoiles (Pfs, par Avenir de l’Aumont, PFS), IPC 166, double champion d’Europe de CCE en 2024
– Cristal de l’Aumont (Pfs, par Meeping Cha de Florys, Pfs), né en 2012
– Dior de l’Aumont (Pfs, par Quabar des Monceaux, Pfs), né en 2013
Eliss de l’Aumont (New Forest née chez Marc Bernardin, par Silverlea Spring Fever et Soon des Étangs par Jolly des Ifs), 1992 – 2013
Mère de 14 produits nés à l’élevage de l’Aumont. Parmi eux :
– Island de l’Aumont (étalon Pfs, par Pompéi, Pfs), né en 1996, IPC 130, IPO 135
– Jaika de l’Aumont (Pfs, par Vazy du Viertot, Pfs), née en 1997, mère de 4 produits indicés à plus de 120 dont Otesse de l’Aumont (Pfs, par Canal Misty Fionn, Co), IPO 147
– Lady de l’Aumont (Nf, par Glen de l’Aumont), née en 1999, IPO 127
– Oslo de l’Aumont (Nf, par Kantje’s Ronaldo SL), né en 2002, IPO 147
– Quiryda de l’Aumont (Nf, par Karisto de l’Aumont), née en 2004, Excellent CCJP CSO 4 ans, mère de Flash des Étoiles (Pfs, par Avenir de l’Aumont, PFS), IPC 166, double champion d’Europe de CCE en 2024
– Romance de l’Aumont (Nf, par Karisto de l’Aumont), née en 2005, IPO 120
– Belle Ile de l’Aumont (Pfs, par Rock Star de la Fosse, Pfs), née en 2011, IPO 143
L’Association française du poney New Forest vous donne rendez-vous les 23 et 24 août lors du So’Pony à Fontainebleau, à l’occasion du National de race.